Droit de réponse !
Sophie LIMOUZIN, directrice de l’EHPAD depuis 2022, a exprimé sa grande surprise à la suite du reportage de BFM Provence et a déclaré qu'elle n'avait pas connaissance de dépôts de plainte évoqués dans le reportage. « Étant moi-même soignante et cadre de santé, j’accorde une importance particulière au bien-être et à l’accompagnement des résidents accueillis dans le respect des bonnes pratiques professionnelles. Le groupe Colisée a mis tout en place pour prévenir de telles situations, » nous cite-t-elle.
La directrice, chiffre à l'appui, s'efforce de démontrer le bon fonctionnement de l'EHPAD. Elle évoque que la Résidence fait régulièrement l’objet de contrôle avec les autorités sanitaires ARS et du Conseil Départemental, selon la réglementation encadrant l’activité des établissements médico-sociaux tant sur la qualité d’accompagnement des résidents que sur le respect des réglementations en matière d’hygiène.
Un audit « hygiène et sécurité » a été réalisé en décembre 2024 par un organisme extérieur, au cours de laquelle aucun cas de maltraitance ou manquement n'a été signalé.
Elle précise « Le taux de satisfaction des résidents et des familles est noté, en toute transparence, avec une notation de 8,1/10 par les familles et 7,9 par les salariés. De leur côté, 92% des salariés expriment une satisfaction à l'égard des actions entreprises par la direction (résulta de la dernier audit RPS réalisé en Septembre 2024).
Le Conseil de la Vie Sociale (CVS) qui s’est tenu le 6 novembre 2024 n’a fait l’objet d’aucun signalement par les familles concernant les situations évoquées dans le reportage.
Les CVS est une instance qui permet d’associer toutes nos parties prenantes, en émettant des avis et formule des propositions sur les sujets intéressant relatif au fonctionnement de l’établissement. Pour ce faire, sur la résidence 4 représentants des familles dont la présidente du CVS. Leur rôle est de porter la voie des familles/ proches des résidents à chaque réunion (une fois par trimestre).
La directrice, chiffre à l'appui, s'efforce de démontrer le bon fonctionnement de l'EHPAD. Elle évoque que la Résidence fait régulièrement l’objet de contrôle avec les autorités sanitaires ARS et du Conseil Départemental, selon la réglementation encadrant l’activité des établissements médico-sociaux tant sur la qualité d’accompagnement des résidents que sur le respect des réglementations en matière d’hygiène.
Un audit « hygiène et sécurité » a été réalisé en décembre 2024 par un organisme extérieur, au cours de laquelle aucun cas de maltraitance ou manquement n'a été signalé.
Elle précise « Le taux de satisfaction des résidents et des familles est noté, en toute transparence, avec une notation de 8,1/10 par les familles et 7,9 par les salariés. De leur côté, 92% des salariés expriment une satisfaction à l'égard des actions entreprises par la direction (résulta de la dernier audit RPS réalisé en Septembre 2024).
Le Conseil de la Vie Sociale (CVS) qui s’est tenu le 6 novembre 2024 n’a fait l’objet d’aucun signalement par les familles concernant les situations évoquées dans le reportage.
Les CVS est une instance qui permet d’associer toutes nos parties prenantes, en émettant des avis et formule des propositions sur les sujets intéressant relatif au fonctionnement de l’établissement. Pour ce faire, sur la résidence 4 représentants des familles dont la présidente du CVS. Leur rôle est de porter la voie des familles/ proches des résidents à chaque réunion (une fois par trimestre).
Vague de démissions ?
La directrice indique qu'il n'y a pas de vague de démissions au sein de l’établissement. Au cours du dernier trimestre, seulement deux départs ont été enregistrés pour des reconversions professionnelles, et tous les postes ont été occupés par des professionnels compétents. Actuellement, tous les postes sont pourvus.
Elle en profite pour clarifier la situation des deux salariés qui ont témoigné sous couvert d'anonymat dans le reportage de BFM.
Une des salariées qui a témoigné semblerait s’agir d’une ancienne salariée ne faisant plus partie des effectifs depuis 2 ans.
Quant à la deuxième, la direction de la résidence souligne qu’elle a été contrainte de déposer plainte, pour menaces avérées, à trois reprises à l'encontre de cette salariée en décembre 2024. Ils ont dû avoir recours à une mise à pied à titre conservatoire, le dossier est en cours d'instruction par DREETS (Inspection du Travail) et fait l’objet d'une demande d'ordonnance d'une mesure d’éloignement de l’établissement. Comme nous l’avons déjà évoqué sur notre site, ils ont dû avoir recours à des vigiles pour faire respecter cet éloignement pour protéger les résidents et les équipes.
Elle en profite pour clarifier la situation des deux salariés qui ont témoigné sous couvert d'anonymat dans le reportage de BFM.
Une des salariées qui a témoigné semblerait s’agir d’une ancienne salariée ne faisant plus partie des effectifs depuis 2 ans.
Quant à la deuxième, la direction de la résidence souligne qu’elle a été contrainte de déposer plainte, pour menaces avérées, à trois reprises à l'encontre de cette salariée en décembre 2024. Ils ont dû avoir recours à une mise à pied à titre conservatoire, le dossier est en cours d'instruction par DREETS (Inspection du Travail) et fait l’objet d'une demande d'ordonnance d'une mesure d’éloignement de l’établissement. Comme nous l’avons déjà évoqué sur notre site, ils ont dû avoir recours à des vigiles pour faire respecter cet éloignement pour protéger les résidents et les équipes.
L'équipes reste mobilisé !
La directrice assure que l'ensemble des équipes reste mobilisé auprès des familles et des résidents pour poursuivre le dialogue au quotidien dans le cadre d'un accompagnement spécialisé en unité de vie protégée complète accueillant uniquement des résidents atteints de troubles neurodégénératifs.
Elle en profite aussi pour nous faire part que les équipes, environ 30 personnes, restent profondément affectées par la situation et qu'elles vont monter une cellule d'écoute pour accompagner les équipes. Sophie LIMOUZIN assure avoir reçu de nombreux messages de soutien des familles de résidents.
La situation reste complexe et cela pourrait s'apparenter à une vengeance de salariés partis en guerre contre leur direction, cela risque d'accoucher d'une souris.
*Nous avons essayé de contacter les salariés du reportage de BFM, sans succès. Si vous souhaitez témoigner sur la situation de l'EHPAD, n'hésitez pas à nous contacter ICI
Elle en profite aussi pour nous faire part que les équipes, environ 30 personnes, restent profondément affectées par la situation et qu'elles vont monter une cellule d'écoute pour accompagner les équipes. Sophie LIMOUZIN assure avoir reçu de nombreux messages de soutien des familles de résidents.
La situation reste complexe et cela pourrait s'apparenter à une vengeance de salariés partis en guerre contre leur direction, cela risque d'accoucher d'une souris.
*Nous avons essayé de contacter les salariés du reportage de BFM, sans succès. Si vous souhaitez témoigner sur la situation de l'EHPAD, n'hésitez pas à nous contacter ICI