“Des partenaires essentiels pour l’équilibre de notre territoire”
Dernière étape en date : un échange avec les membres de l’association de chasse Saint-Hubert de Gardanne, qui a permis d’aborder sans tabou les enjeux de nature, de sécurité et de vivre-ensemble.
Accueilli « avec franchise et chaleur », Bruno Priouret a tenu à saluer la qualité du dialogue instauré avec les chasseurs gardannais.
Une discussion jugée constructive, axée à la fois sur les préoccupations du terrain et sur les propositions d’avenir.
Accueilli « avec franchise et chaleur », Bruno Priouret a tenu à saluer la qualité du dialogue instauré avec les chasseurs gardannais.
« Loin des caricatures souvent véhiculées sur le monde rural, j’ai rencontré des passionnés conscients de leurs responsabilités », souligne-t-il.
Une discussion jugée constructive, axée à la fois sur les préoccupations du terrain et sur les propositions d’avenir.
Un dialogue direct avec le président de la Saint-Hubert
Au cœur de cette rencontre, un échange approfondi avec Jean-Pierre Olivero, président de l’association Saint-Hubert. Diriger une telle structure demande, selon Bruno Priouret, « engagement, rigueur et sens de la diplomatie », notamment pour faire cohabiter chasseurs, promeneurs et autres usagers des espaces naturels.
Le candidat a profité de cette rencontre pour exposer sa vision de Gardanne à l’horizon 2026 : celle d’une commune où les chasseurs ne seraient plus perçus comme des acteurs marginaux, mais comme de véritables partenaires de la gestion des espaces naturels.
Le candidat a profité de cette rencontre pour exposer sa vision de Gardanne à l’horizon 2026 : celle d’une commune où les chasseurs ne seraient plus perçus comme des acteurs marginaux, mais comme de véritables partenaires de la gestion des espaces naturels.
« On ne peut pas prétendre gérer la forêt sans écouter ceux qui la parcourent toute l’année, dès l’aube », affirme-t-il.
Régulation de la faune : un service rendu à la collectivité
Au-delà de l’aspect loisir, Bruno Priouret insiste sur le rôle écologique et régulateur de la chasse. La prolifération de certaines espèces, en particulier les sangliers, représente aujourd’hui un problème concret pour les agriculteurs, les riverains et la sécurité routière.
Sans leur intervention bénévole, la commune devrait faire appel à des sociétés privées, avec un coût important pour les finances locales. Un argument pragmatique qui s’inscrit dans ce que Bruno Priouret qualifie d’« écologie du bon sens ».
« Les chasseurs rendent un véritable service public en assurant cette régulation », rappelle-t-il.
Sans leur intervention bénévole, la commune devrait faire appel à des sociétés privées, avec un coût important pour les finances locales. Un argument pragmatique qui s’inscrit dans ce que Bruno Priouret qualifie d’« écologie du bon sens ».
Les chasseurs, sentinelles des massifs
Autre point souvent méconnu : la présence constante des chasseurs sur le terrain. Départs de feu, dépôts sauvages, chemins dégradés…
Les membres de la Saint-Hubert sont fréquemment les premiers à alerter les autorités. Ils participent également à l’entretien des sentiers et au débroussaillage, contribuant ainsi à la prévention des incendies et à la sécurité de tous.
Les membres de la Saint-Hubert sont fréquemment les premiers à alerter les autorités. Ils participent également à l’entretien des sentiers et au débroussaillage, contribuant ainsi à la prévention des incendies et à la sécurité de tous.
Sécurité et cohabitation : des pistes concrètes
Conscient des inquiétudes que peut susciter la cohabitation entre chasseurs, promeneurs et sportifs de pleine nature, Bruno Priouret plaide pour un cadre structuré et apaisé. Il évoque plusieurs pistes de travail en partenariat avec l’association : meilleure signalisation des jours et zones de chasse, journées pédagogiques sur la faune et la flore locales, ou encore intégration des chasseurs aux dispositifs communaux de surveillance estivale des massifs.
Un engagement plus large pour le tissu associatif
Cette rencontre s’inscrit dans une vision globale de revalorisation du monde associatif gardannais. Bruno Priouret rappelle son engagement à valoriser le bénévolat, à soutenir les associations au-delà du seul aspect financier, et à assurer une présence régulière des élus sur le terrain.
« La mairie doit être un facilitateur, pas un frein », insiste-t-il, affirmant vouloir simplifier les démarches et maintenir un lien direct avec les responsables associatifs.
« La mairie doit être un facilitateur, pas un frein », insiste-t-il, affirmant vouloir simplifier les démarches et maintenir un lien direct avec les responsables associatifs.
Une écologie de terrain
En conclusion, Bruno Priouret voit dans cet échange une confirmation de sa ligne politique : une écologie pragmatique, fondée sur le dialogue et l’expérience du terrain.
« Les chasseurs de Gardanne font partie intégrante de notre identité locale et de la gestion de notre environnement », conclut-il.
Un message clair : pour l’avenir de Gardanne, le respect mutuel, la concertation et la reconnaissance de tous les acteurs du territoire seront au cœur du projet municipal

Gardanne : Bruno Priouret à la rencontre des chasseurs.














Éditorial