Marc Pena (PS) met la pression à LFI pour les municipales à Aix.
Avant même d'avoir été élu député, Marc Pena a audacieusement déclaré ses ambitions pour Aix-en-Provence. En tant que leader d'Aix en partage, une coalition de la gauche excluant les écologistes pour les municipales de 2020, l'ancien doyen de la faculté de droit avait déjà manifesté une détermination sans faille à briguer le poste de maire d'Aix-en-Provence en 2026.
Depuis son arrivée au Palais Bourbon suite à la dissolution, après avoir triomphé du député sortant Mohamed Laqhila (MoDem) et écarté le RN, cet élu aixois reste résolument fidèle à son objectif. Au contraire, sa nouvelle fonction de député galvanise encore davantage sa volonté de réussir et envisage une victoire écrasante. N'est-ce pas là un défi audacieux ? Et surtout, parviendra-t-il à maintenir l'harmonie entre les différents mouvements de la gauche locale ? Marc Pena lance un appel à l'unité de la gauche et le plus large possible.
Désormais membre du Parti socialiste, le leader d'Aix en partage au conseil municipal est déterminé à influer sur le rééquilibrage des forces au sein du Nouveau Front populaire. Il a en ligne de mire Claudie Hubert (LFI), qui ne s’attend certainement pas à une telle manœuvre.
Depuis son arrivée au Palais Bourbon suite à la dissolution, après avoir triomphé du député sortant Mohamed Laqhila (MoDem) et écarté le RN, cet élu aixois reste résolument fidèle à son objectif. Au contraire, sa nouvelle fonction de député galvanise encore davantage sa volonté de réussir et envisage une victoire écrasante. N'est-ce pas là un défi audacieux ? Et surtout, parviendra-t-il à maintenir l'harmonie entre les différents mouvements de la gauche locale ? Marc Pena lance un appel à l'unité de la gauche et le plus large possible.
Désormais membre du Parti socialiste, le leader d'Aix en partage au conseil municipal est déterminé à influer sur le rééquilibrage des forces au sein du Nouveau Front populaire. Il a en ligne de mire Claudie Hubert (LFI), qui ne s’attend certainement pas à une telle manœuvre.
Une alternative de gauche s'impose, car "je me présente comme un candidat de gauche. Si l'occasion se présente, je m'engagerai à rassembler d'abord mon propre camp. La fondation de notre démarche est claire et indiscutable : elle repose sur une union entre le PS, le PCF et les écologistes. C’est la gauche qui a toujours su collaborer efficacement, partageant des valeurs et des principes communs." site le député dans la Provence.
Pas la France insoumise ? Le député Pena n’a pas hésité à exprimer son désaccord avec LFI cet été, en critiquant sévèrement les déclarations du député insoumis Thomas Portes, qui avait affirmé avant le début des JO de Paris que, ainsi que le parallèle douteux établi par le Marseillais Sébastien Delogu entre les drapeaux du Hamas et ceux du PCF. "Tous ceux qui, à gauche, souhaitent se rapprocher de nous sont les bienvenus. La question de LFI demeure ouverte. C'est au niveau local que cela se décidera. Dans certaines villes, cette collaboration aura lieu, tandis que dans d'autres, elle ne sera pas possible. Pour l’instant, je ne peux pas vous donner de réponse concernant Aix", souligne Marc Pena.
En plein été, les socialistes et La France Insoumise d’Aix se sont affrontés avec une virulence médiatique indéniable. Aujourd’hui, le leader aixois appelle à la clarté, affirmant avec fermeté qu'il a "des lignes rouges à ne pas franchir". Il est temps de prendre cette demande au sérieux et d'agir en conséquence !
Malgré la pression mise sur les LFI Aixois, il doit cependant réaliser qu'il pourrait bien avoir besoin d'eux pour rassembler un maximum de voix à gauche. Il est absolument crucial que le député élargisse sa base électorale, car cela est essentiel pour unir la gauche de la gauche au centre gauche. Marc Pena, expert en sociologie aixoise, en est parfaitement conscient. "Nous allons offrir une alternative à Sophie Joissains. Cependant, une fois que cette offre politique sera clairement définie, beaucoup pourront venir contribuer à notre projet commun et se rassembler autour d'une vision municipale axée sur le progrès et l'émancipation." Il est impératif de fédérer au-delà des frontières de son propre camp, un rassemblement que Marc Pena souhaite ardemment.
Les élections municipales à Aix-en-Provence sont bel et bien lancées.
Pas la France insoumise ? Le député Pena n’a pas hésité à exprimer son désaccord avec LFI cet été, en critiquant sévèrement les déclarations du député insoumis Thomas Portes, qui avait affirmé avant le début des JO de Paris que, ainsi que le parallèle douteux établi par le Marseillais Sébastien Delogu entre les drapeaux du Hamas et ceux du PCF. "Tous ceux qui, à gauche, souhaitent se rapprocher de nous sont les bienvenus. La question de LFI demeure ouverte. C'est au niveau local que cela se décidera. Dans certaines villes, cette collaboration aura lieu, tandis que dans d'autres, elle ne sera pas possible. Pour l’instant, je ne peux pas vous donner de réponse concernant Aix", souligne Marc Pena.
En plein été, les socialistes et La France Insoumise d’Aix se sont affrontés avec une virulence médiatique indéniable. Aujourd’hui, le leader aixois appelle à la clarté, affirmant avec fermeté qu'il a "des lignes rouges à ne pas franchir". Il est temps de prendre cette demande au sérieux et d'agir en conséquence !
Malgré la pression mise sur les LFI Aixois, il doit cependant réaliser qu'il pourrait bien avoir besoin d'eux pour rassembler un maximum de voix à gauche. Il est absolument crucial que le député élargisse sa base électorale, car cela est essentiel pour unir la gauche de la gauche au centre gauche. Marc Pena, expert en sociologie aixoise, en est parfaitement conscient. "Nous allons offrir une alternative à Sophie Joissains. Cependant, une fois que cette offre politique sera clairement définie, beaucoup pourront venir contribuer à notre projet commun et se rassembler autour d'une vision municipale axée sur le progrès et l'émancipation." Il est impératif de fédérer au-delà des frontières de son propre camp, un rassemblement que Marc Pena souhaite ardemment.
Les élections municipales à Aix-en-Provence sont bel et bien lancées.
