La journaliste Cindy Chevaux, de BFM Provence a soulevé la situation préoccupante de l’EHPAD, qui rappelle tristement l’affaire Orpea révélée par le journaliste Victor Castanet dans son ouvrage "Les Fossoyeurs" en 2022. Elle évoque des plaintes déposées auprès de la gendarmerie, signalant des maltraitances tant au niveau des soins que de l'alimentation. De plus, elle présente des témoignages anonymes provenant de deux proches de résidents et de 2 salariés de l’EHPAD, renforçant ainsi la gravité des accusations avec photos à l'appui.
La gendarmerie aura à cœur de faire toute la lumière sur cette affaire, car les instances préfectorales et départementales sont particulièrement sensibles à ces scandales liés à la maltraitance de nos aînés.
Nous avons souhaité en apprendre davantage, mais le tribunal médiatique et les réseaux sociaux ont pris de l'avance sur nous. Ce qui nous dérange dans le reportage de BFM Provence, c'est que le sujet est abordé uniquement sous un angle biaisé, ne donnant pas la parole à la direction et aux trentaine professionnels que compte l'EHPAD ainsi qu'à la cinquantaine de familles.
Nous avons eu l'opportunité de rencontrer certains de ces employés, et ceux qui ont bien voulu s'exprimer partagent leur profonde indignation face à des accusations qui ne reflètent en rien leur réalité : « Bien sûr, comme dans toute entreprise, il y a des absences pour maladie, mais nous avons toujours agi avec professionnalisme et conformément aux règles. » Concernant les allégations de maltraitance, notre témoin déclare avec fermeté : « C'est une pure calomnie, nous maintenons un lien constant avec les familles et aucune accusation de ce type ne nous a jamais été rapportée. ».
Une autre salariée déclare : « Nous avons un travail très difficile, mais nous agissons toujours avec bienveillance. Les familles nous le disent souvent et nous avons créé un véritable lien de confiance avec elles. Pensez-vous que si ces accusations étaient vraies, les familles auraient laissé leurs proches dans cette EHPAD ? »
Nous avons senti des salariés affectés par ces accusations, qui demandent que toute la lumière soit faite sur la situation comme pour laver leur honneur professionnel.
La gendarmerie aura à cœur de faire toute la lumière sur cette affaire, car les instances préfectorales et départementales sont particulièrement sensibles à ces scandales liés à la maltraitance de nos aînés.
Nous avons souhaité en apprendre davantage, mais le tribunal médiatique et les réseaux sociaux ont pris de l'avance sur nous. Ce qui nous dérange dans le reportage de BFM Provence, c'est que le sujet est abordé uniquement sous un angle biaisé, ne donnant pas la parole à la direction et aux trentaine professionnels que compte l'EHPAD ainsi qu'à la cinquantaine de familles.
Nous avons eu l'opportunité de rencontrer certains de ces employés, et ceux qui ont bien voulu s'exprimer partagent leur profonde indignation face à des accusations qui ne reflètent en rien leur réalité : « Bien sûr, comme dans toute entreprise, il y a des absences pour maladie, mais nous avons toujours agi avec professionnalisme et conformément aux règles. » Concernant les allégations de maltraitance, notre témoin déclare avec fermeté : « C'est une pure calomnie, nous maintenons un lien constant avec les familles et aucune accusation de ce type ne nous a jamais été rapportée. ».
Une autre salariée déclare : « Nous avons un travail très difficile, mais nous agissons toujours avec bienveillance. Les familles nous le disent souvent et nous avons créé un véritable lien de confiance avec elles. Pensez-vous que si ces accusations étaient vraies, les familles auraient laissé leurs proches dans cette EHPAD ? »
Nous avons senti des salariés affectés par ces accusations, qui demandent que toute la lumière soit faite sur la situation comme pour laver leur honneur professionnel.
Esprit de vengeance ?
Lors de notre enquête, il a été révélé qu'une altercation intense s'est produite entre une salariée et la direction, impliquant des menaces violentes à l'encontre de cette dernière. En conséquence, la direction a dû procéder à une mise à pied conservatoire de la salariée ayant proféré ces menaces.
La situation était telle que la direction du groupe a jugé nécessaire de renforcer la sécurité du site en y déployant des agents de sécurité et en instaurant un accès réglementé.
Il est profondément inquiétant de réaliser que ces accusations de maltraitance surviennent dans un environnement imprégné de violence, ce qui soulève des interrogations légitimes sur un éventuel lien entre ces deux situations et que cette affaire ne cacherait-elle pas un "esprit de vengeance" ?
La gendarmerie et les enquêteurs du CROSMS, (Comité Régionale de l'Organisation Sociale et Médico-Sociale) sont déterminés à percer le mystère de cette affaire qui apparaît manifestement complexe.
Affaire a suivre
Témoignage : ICI
La situation était telle que la direction du groupe a jugé nécessaire de renforcer la sécurité du site en y déployant des agents de sécurité et en instaurant un accès réglementé.
Il est profondément inquiétant de réaliser que ces accusations de maltraitance surviennent dans un environnement imprégné de violence, ce qui soulève des interrogations légitimes sur un éventuel lien entre ces deux situations et que cette affaire ne cacherait-elle pas un "esprit de vengeance" ?
La gendarmerie et les enquêteurs du CROSMS, (Comité Régionale de l'Organisation Sociale et Médico-Sociale) sont déterminés à percer le mystère de cette affaire qui apparaît manifestement complexe.
Affaire a suivre
Témoignage : ICI