Dans les couloirs de l'hôtel de ville d'Aix-en-Provence, le sujet brûlant des élections municipales de 2026 fait vibrer les discussions. Il est indéniable que tous s'accordent à affirmer que Sophie Joissains, forte de l'héritage de sa mère Marise Joissains, nourrira une volonté ardente de se présenter sous son propre nom.
Malgré son désir manifeste de retourner à la bataille, il est hors de question de s'étendre davantage sur le sujet actuellement. Les rumeurs circulent selon lesquelles Sophie Joissains n'entrera en campagne qu'à trois mois de l'échéance, en janvier 2026. Aucun détail sur le projet, aucune information sur la composition de sa liste, mais des négociations ont déjà commencé en coulisses.
Un proche de Sophie Joissains a déclaré avec ironie : « Elle sera largement élue, il n'y a personne en face. » Cela fait suite à la démission récente de Sylvain Dijon, ancien adjoint à la sécurité, il y a près d'un an, ainsi qu'à celle de son homologue au tourisme, Stéphane Paoli, dans la foulée, et au départ vers le Rassemblement National de Joëlle Canuet. La majorité insiste sur le fait qu'elle renouvellera son équipe et fédérera autour d'elle.
Si Sophie Joissains demeure muette sur la campagne et la composition de sa future liste, c’est qu’elle est face à une équation difficile, avec, au niveau national, un paysage politique trouble : elle a besoin de voir comment vont s’articuler LR qui n’existe presque plus sur le pays d’Aix, mais aussi l’ex-député du Modem, Mohamed Laquila, qui est déjà en train de faire des appels de phare. Sophie Joissains devra aussi compter sur Renaissance et Horizons.
La question pour Renaissance et Horizons concerne la candidature d'Anne Laurence Petel et, si elle se présente, le soutien qu'elle recevra de la majorité présidentielle. En effet, de nombreux électeurs reprochent à l'ancienne députée d'avoir favorisé l'élection de Gérault Verny UDR/RN lors des législatives de 2024.
En 2026, la percée du RN sera une donnée à prendre en compte, car cette fois, ils vont peser lourd sur cette élection. Le patron du RN départementale, Franck Allisio, est déjà en train de labourer le terrain pour gagner la ville d'Aix-en-Provence où, d'après les bruits de couloir, ce serait Gérault Verny, le député de la 14e circonscription, qui serait pressenti. Avec leur victoire récente dans les élections partielles de Rognac, cela leur en fait poser des ailes.
À gauche, Marc Pena s'est déjà déclaré candidat. Toute la question sera : est-ce qu'elle partira avec une gauche rassemblée ou pas ? Cela n'est pas encore gagné.
Malgré son désir manifeste de retourner à la bataille, il est hors de question de s'étendre davantage sur le sujet actuellement. Les rumeurs circulent selon lesquelles Sophie Joissains n'entrera en campagne qu'à trois mois de l'échéance, en janvier 2026. Aucun détail sur le projet, aucune information sur la composition de sa liste, mais des négociations ont déjà commencé en coulisses.
Un proche de Sophie Joissains a déclaré avec ironie : « Elle sera largement élue, il n'y a personne en face. » Cela fait suite à la démission récente de Sylvain Dijon, ancien adjoint à la sécurité, il y a près d'un an, ainsi qu'à celle de son homologue au tourisme, Stéphane Paoli, dans la foulée, et au départ vers le Rassemblement National de Joëlle Canuet. La majorité insiste sur le fait qu'elle renouvellera son équipe et fédérera autour d'elle.
Si Sophie Joissains demeure muette sur la campagne et la composition de sa future liste, c’est qu’elle est face à une équation difficile, avec, au niveau national, un paysage politique trouble : elle a besoin de voir comment vont s’articuler LR qui n’existe presque plus sur le pays d’Aix, mais aussi l’ex-député du Modem, Mohamed Laquila, qui est déjà en train de faire des appels de phare. Sophie Joissains devra aussi compter sur Renaissance et Horizons.
La question pour Renaissance et Horizons concerne la candidature d'Anne Laurence Petel et, si elle se présente, le soutien qu'elle recevra de la majorité présidentielle. En effet, de nombreux électeurs reprochent à l'ancienne députée d'avoir favorisé l'élection de Gérault Verny UDR/RN lors des législatives de 2024.
En 2026, la percée du RN sera une donnée à prendre en compte, car cette fois, ils vont peser lourd sur cette élection. Le patron du RN départementale, Franck Allisio, est déjà en train de labourer le terrain pour gagner la ville d'Aix-en-Provence où, d'après les bruits de couloir, ce serait Gérault Verny, le député de la 14e circonscription, qui serait pressenti. Avec leur victoire récente dans les élections partielles de Rognac, cela leur en fait poser des ailes.
À gauche, Marc Pena s'est déjà déclaré candidat. Toute la question sera : est-ce qu'elle partira avec une gauche rassemblée ou pas ? Cela n'est pas encore gagné.