Un livreur de stupéfiant arrêté au péage de Saint-Maximin
Photo EDSR du Var.
La situation est véritablement alarmante et cette réalité se confirme à travers les contrôles routiers et les audiences judiciaires. De plus en plus de jeunes, qui semblent pourtant bien intégrés et sans antécédents criminels, succombent à l'attrait du transport de stupéfiants entre la région marseillaise et le Var, séduits par ce "job" alléchant proposé sur les réseaux sociaux. Ils ne réalisent pas un instant l’ampleur des dangers qu’ils encourent...
Le dernier cas enregistré concerne un jeune homme de 21 ans originaire du Var, arrêté le lundi 20 janvier au péage de Saint-Maximin sur l'autoroute A8 dans le cadre d'une opération spéciale orchestrée par les gendarmes du peloton motorisé, visant à combattre le narcotrafic.
Le conducteur, originaire de Marseille, transportait dans sa petite voiture deux kilos de résine de cannabis, 80 grammes de cocaïne, deux bonbonnes de protoxyde d’azote (ce gaz qui provoque le rire), ainsi que 1.850 euros en espèces et deux couteaux. Son objectif était de livrer cette cargaison dans le haut Var.
À l'issue de sa garde à vue, cet homme, qui travaille comme chauffeur de bus et reconnait souffrir d'une "addiction aux jeux", a été présenté au parquet avant d'être jugé en comparution immédiate mercredi au tribunal correctionnel de Draguignan. Il a demandé un délai pour préparer sa défense. Bien que son casier judiciaire soit vierge, cela n'a pas empêché sa mise en détention provisoire jusqu'à son procès prévu le 24 février prochain.
Le dernier cas enregistré concerne un jeune homme de 21 ans originaire du Var, arrêté le lundi 20 janvier au péage de Saint-Maximin sur l'autoroute A8 dans le cadre d'une opération spéciale orchestrée par les gendarmes du peloton motorisé, visant à combattre le narcotrafic.
Le conducteur, originaire de Marseille, transportait dans sa petite voiture deux kilos de résine de cannabis, 80 grammes de cocaïne, deux bonbonnes de protoxyde d’azote (ce gaz qui provoque le rire), ainsi que 1.850 euros en espèces et deux couteaux. Son objectif était de livrer cette cargaison dans le haut Var.
À l'issue de sa garde à vue, cet homme, qui travaille comme chauffeur de bus et reconnait souffrir d'une "addiction aux jeux", a été présenté au parquet avant d'être jugé en comparution immédiate mercredi au tribunal correctionnel de Draguignan. Il a demandé un délai pour préparer sa défense. Bien que son casier judiciaire soit vierge, cela n'a pas empêché sa mise en détention provisoire jusqu'à son procès prévu le 24 février prochain.
