Malgré une refonte de leur image et de leur formule cet été, ainsi que la regrettable cessation de la vente de pains depuis août, ils n'ont pas réussi à attirer une clientèle suffisante pour assurer la pérennité de leur activité. Pendant ce temps, les charges fixes et le coût des matières premières ont explosé au cours des quatre dernières années, comme l'a souligné Julien Doumas sur sa page Facebook, "Oyé Oyé, à nos chers clients et clientes, C'est avec beaucoup de peine que nous vous informons de la " "fermeture très prochainement de notre établissement. »
La fermeture de cet établissement, géré par un couple exceptionnellement sympathique et engagé, avec leur équipe dévouée, est une immense perte pour le centre-ville de Trets et les commerces de proximité sur le territoire rural. Leur investissement durant les soirées festives en prolongeant leurs horaires d'ouverture témoigne de leur passion. Cette décision laisse un vide considérable que personne ne pourra combler. Les clients fidèles, très affectés par cette annonce, se sont réunis en nombre le 10 septembre dernier pour leur dire au revoir. "Quel dommage," nous cite Nathalie, ou encore Pierre, "espérant que ce sera un commerce de bouche qui reprendra le local, pas un coiffeur, une banque ou une agence immobilière qui sont déjà trop nombreuses sur le village". Dans leur propos, ils expriment leur désespoir et leur tristesse face à la disparition d'un commerce de plus sur Trets.
Ces dernières années, avec la conjoncture actuelle, l'augmentation des charges et des frais fixes, de nombreux commerces ruraux ferment leurs portes. C'est vraiment au pouvoir public de se mobiliser pour éviter que ces petites villes rurales ne deviennent des villes dortoirs.
Comme dans leur message, ils font référence au tube emblématique du groupe Téléphone « Voilà ces Fini ».
La fermeture de cet établissement, géré par un couple exceptionnellement sympathique et engagé, avec leur équipe dévouée, est une immense perte pour le centre-ville de Trets et les commerces de proximité sur le territoire rural. Leur investissement durant les soirées festives en prolongeant leurs horaires d'ouverture témoigne de leur passion. Cette décision laisse un vide considérable que personne ne pourra combler. Les clients fidèles, très affectés par cette annonce, se sont réunis en nombre le 10 septembre dernier pour leur dire au revoir. "Quel dommage," nous cite Nathalie, ou encore Pierre, "espérant que ce sera un commerce de bouche qui reprendra le local, pas un coiffeur, une banque ou une agence immobilière qui sont déjà trop nombreuses sur le village". Dans leur propos, ils expriment leur désespoir et leur tristesse face à la disparition d'un commerce de plus sur Trets.
Ces dernières années, avec la conjoncture actuelle, l'augmentation des charges et des frais fixes, de nombreux commerces ruraux ferment leurs portes. C'est vraiment au pouvoir public de se mobiliser pour éviter que ces petites villes rurales ne deviennent des villes dortoirs.
Comme dans leur message, ils font référence au tube emblématique du groupe Téléphone « Voilà ces Fini ».