Ce centre, spécialisé dans l’étude des primates à des fins scientifiques, prévoit d’augmenter significativement sa capacité d’accueil d’animaux, un projet qui suscite une vive opposition chez les défenseurs des animaux et une partie des riverains.
Munis de pancartes et de slogans tels que « Pas en notre nom ! » ou « La science sans souffrance », les manifestants, venus de toute la région, ont dénoncé les conditions de vie des primates en captivité et questionné la nécessité de telles recherches à l’heure où les alternatives technologiques se multiplient.
Le collectif « One Voice », à l’origine de la mobilisation, s’oppose fermement à ce qu’il considère comme une industrialisation croissante de l’expérimentation animale. « Cette extension n’est pas seulement une question locale, c’est un enjeu éthique national. Nous demandons un moratoire immédiat sur les travaux et l’ouverture d’un débat public », a déclaré les porte-parole du collectif.
Munis de pancartes et de slogans tels que « Pas en notre nom ! » ou « La science sans souffrance », les manifestants, venus de toute la région, ont dénoncé les conditions de vie des primates en captivité et questionné la nécessité de telles recherches à l’heure où les alternatives technologiques se multiplient.
Le collectif « One Voice », à l’origine de la mobilisation, s’oppose fermement à ce qu’il considère comme une industrialisation croissante de l’expérimentation animale. « Cette extension n’est pas seulement une question locale, c’est un enjeu éthique national. Nous demandons un moratoire immédiat sur les travaux et l’ouverture d’un débat public », a déclaré les porte-parole du collectif.
Le CNRS, de son côté, rappelle que le centre de Rousset respecte les normes européennes en matière de bien-être animal et que les recherches menées sont essentielles pour la compréhension des maladies humaines. Dans un communiqué transmis à la presse, l’organisme précise que l’extension vise à améliorer les infrastructures et à offrir des conditions de vie optimisées aux animaux déjà présents.
La municipalité de Rousset, qui avait donné un avis favorable au projet en 2023, se retrouve désormais sous pression. Le maire, Philippe Pignon, a affirmé qu’un dialogue allait être rouvert entre les parties concernées afin d’apaiser les tensions. Une réunion publique pourrait être organisée dans les prochaines semaines.
En attendant, les opposants au projet promettent de maintenir la pression. Une nouvelle manifestation est déjà prévue le mois prochain.
La municipalité de Rousset, qui avait donné un avis favorable au projet en 2023, se retrouve désormais sous pression. Le maire, Philippe Pignon, a affirmé qu’un dialogue allait être rouvert entre les parties concernées afin d’apaiser les tensions. Une réunion publique pourrait être organisée dans les prochaines semaines.
En attendant, les opposants au projet promettent de maintenir la pression. Une nouvelle manifestation est déjà prévue le mois prochain.